Ce plat pays devenu mien
Reflète le calme, et c'est pas rien
On y construit de minuscules cabanes, bon, et quelques bicoques de folie...
On y accède par la mer
Ou on y descend par la porte du ciel
On y joue du piano
molto, crescendo, bellissimo
Mais il n'y a qu'ici
Que j'ai vu le soleil attirer à lui
L'arc-en-ciel de minuit.
<3 <3 <3 surtout la première... excellente !!
RépondreSupprimerMerci :-)
SupprimerAllons donc ! Mané truc, Mané machin, Mané chose… Pas aussi plat que tu veux bien le dire, ton plat pays. :-))
RépondreSupprimerMais j'aime bien la porte du ciel, le piano aussi. Tu es de plus en plus poétique mon amie.
Mané Marcus :-)
SupprimerTu résumes parfaitement le calme de ce pays... Surtout face à la mer, devant laquelle on ne peut que se sentir humble.
RépondreSupprimerMa première navigation dans le Golfe, je venais d'avoir mon permis bateau, s'est faite autour de la cale du Rhuau, je te dis pas le retour au milieu des parcs à huîtres, à essayer de deviner face au soleil les perches du chenal peintes en blanc. Depuis j'ai progressé ;o)
Ça reste difficile à certains endroits de deviner où sont les parcs! ils remettent des balises régulièrement, mais bon, face au soleil on est si peu de chose :-))
SupprimerOui, et en même temps cette plaie qu'on appelle plaisanciers… ;o)
RépondreSupprimerJe prendrais bien la cabane de rondins, du moment que j'aurai avec moi un bon allumeur de feux...
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