Parce que cette fin de semaine a été dure. Façon de parler. Un premier repas autour d'une table ronde, mercredi, avec des amis comme on aime, dehors et dedans puisque c'est presque l'été. Le lendemain, un dîner autour d'une table rectangulaire (ne devrait pas t-on dire "aurectangle"? ) avec des amis comme on aime encore, dans une maison neuve qui s'était mise sur son 31.
Vendredi soir, oh, si nous dînions chez nous, avec des amis qu'on aime, sur la terrasse à la lueur des bougies?
(Oui, j'ai de l'or aussi dans une partie de ma vaisselle, et puis deux ou trois nappes blanches, c'est mon côté bourgeois )
Alors samedi soir, repos de fête, juste pour préparer celle du lendemain.Je Lui ai dit, demain matin, s'il y a du vent, pourquoi n'irais-tu pas faire de la planche? Histoire de se détendre puisque je ne lui ai pas laissé l'occasion de penser qu'il pourrait faire le gâteau.
Il n'y a pas eu de vent, pourtant il l'a attendu un certain temps, dimanche.
La table des Zôtes desservie, j'ai mis la nôtre. 13 personnes, c'est un bon nombre malgré ce qu'on en dit, puisqu'en ajoutant deux tables en long, nous sommes tous bien assis. Grillades sous un ciel gris inutile puisqu'il n'a pas délivré de pluie. Et balade au bord de l'eau. Comme les couleurs étaient fades, le ciel gris c'est plat et terne, je me suis amusée à trafiquer les photos.
On a encore vu de beaux bateaux, ceux qui nous font encore rêver, un jour peut-être, ceux qu'on a même pas envie d'avoir parce qu'on sait ce qu'ils coûtent, et qu'on a pas besoin de ça pour être bien sur l'eau, ceux qui font sourire, quand on y sent le plaisir du propriétaire à le lustrer, le faire briller, ou bien parce qu'on se rappelle du nôtre, à l'école de voile, quand on prenait des cours ou qu'on en donnait, et puis les mini-croisières dans la rade.
Et puis, un port, ce sont des engins étranges, qui roulent pour lever, et toutes sortes de bers, pour que le bateau à sec retrouve ses couleurs.
C'est beau l'étrave d'un bateau, qui file sur l'eau bientôt.
Je ne suis pas bien sûre qu'on aie eu le droit de se promener là, mais j'ai vu des noms de bateau rigolo, de "Grenouille" à "Toubab", et "Volage".
Le Toubab a t-il été volage avec la grenouille?
Le tribunal nous le dira peut-être.
moi aussi, les voiliers, ça me fait rêver. Mes plus belles vacances se sont passées sur l'eau, sous l'eau pour le skipper qu'a pas fait attention a mon empannage...
RépondreSupprimerAh ah ah, je visualise très bien : se prendre une bôme un jour et ne jamais recommencer!
RépondreSupprimerC'est quoi c't'embrouille!!!!
RépondreSupprimerLa photo d'un gâteau tellement belle qu'on en lécherait son écran, et PAS DE RECETTE!!!
J'ai fait ÇA? moi? rooo, sstune honte! :-)
RépondreSupprimerElle est là, the recette (le Concorde de Lenôtre)
http://senourrir.wordpress.com/2007/11/02/by-jove-sexclama-mortimer/
Ah ben quand même!!!
RépondreSupprimerMerci et la prochaine fois je prendrai le temps de fouiller dans tous tes tiroirs avant de râler.
De nada :-) je ne t'en veux pas, j'ai plein (trop?) de tiroirs...8, je crois...
RépondreSupprimerAllons Madame, foin de modestie, ce Concorde n'est plus le sien, il est désormais… le Vôtre.
RépondreSupprimerMarcus, uh uh uh, dis donc t'es en forme ce soir!! :-D
RépondreSupprimerc'est beau, tes mots et tes photos comme toujours.bises à toi
RépondreSupprimerJ'ai pas léché l'écran, mais mes doigts, si, et piqué dans le plats les bigoudis qui étaient tombés...Ch'était booonnnnnn!
RépondreSupprimerMerchi ma chère!
Maja, merci :-) bises zaussi :-)
RépondreSupprimerMamutter, ben, c'est bien parce que tu en voulais que je l'ai fait! il en vaut la peine :-)