Dans la Forest, un Géant...
Dans la forêt, des Korrigans.
Un arbre, un seul, celui qui cache la forêt...
Ils l'ont vu, ils le veulent,
Ils l'essaient, ne le peuvent...
Petitsd'hommes, soyez humbles,
Le Géant n'est pas mort,
Sur sa branche, des feuilles encor...
Ta main l'agrippe, ton pied à sa botte...
Ton regard s'élève, ton coeur bat,
Du pied de l'arbre, tu ne distingue pas le haut...
Tout petit, tu rêves.
Et si l'arbre cachait un secret?
Et si cette peau rugueuse, cette écorce dure, cachait la vie?
Tu touches, tu sens, tu caresses, tu t'accroches...tu te couches.
Comme le soleil qui fait son lit de la mer
Comme la lueur, qui allonge l'ombre
L'arbre vit, l'arbre meurt...
Et la Terre continue de tourner,Et l'Amitié...?
Chut, c'est un secret...
(photo 1 et 2 truquées, pas les deux autres...)
Bôoooo.
RépondreSupprimerDemain viendra qui dira ce qu'aujourd'hui je ressens mais ne sais dire, écrire...
Beaueaueaueau
Ils étaient heureux les petits korrigans dans ce bel endroit avec sa cachette d'un noir...mais d'un noir ...Et ce géant...j'aimerais pouvoir m'assoupir à sa botte juste un moment...en écoutant les korrigans chanter...
RépondreSupprimerEnfin du temps pour parcourir plus en détail un autre de tes univers.
RépondreSupprimerJ'aime bien ce rose pâle, j'apprécie ces textes, où sans filtre,
l'écriture tente de dire quelque chose sur Soi, une facette d'un
instant sur une pensée évanescente.
Beautiful photographs.
RépondreSupprimer~Oswegan
Les photos sont magnifiques !
RépondreSupprimerjuste pour te dire, dans la colonne de gauche... c'est lisenn.. pas solenn...
RépondreSupprimerBravo tes photos sont belles et l'ambiance me transporte!
RépondreSupprimerMerci tous...
RépondreSupprimerSalut Tifeen, c'est encore la Cremiere, il est super ton blog, tres belles photos et c'est un tres joli poeme. Je reviendrai. A bientot.
RépondreSupprimerL'histoire de cet arbre c'est finalement celle de l'éternel renouvellement des vivants.
RépondreSupprimerDemain est là depuis hier au moins et je ne fais que passer, l'arbre, lui, restera bien au-delà des feuilles qu'il m'aura données où écrire l'écume de mes ressentis ou de mes délires.
RépondreSupprimerL'arbre que je serre quand j'ai trop à vibrer, que je caresse tant douce est sa peau (le bouleau),ou que j'embrasse pour lui rendre grâce de ses innombrables dons, au cas où son feuillage aurait été sourd à mes paroles de gratitude...
L'arbre qui me montre le ciel,et sa façon de l'atteindre. Combien en avons-nous plantés
, autant de germes d'espoir, de rêve..?
Que ferais-je sans lui?