11.11.07

Bruits et ronflements...

Dimanche 11 novembre.
(Bon anniversaire.
J'y pense chaque année mais pas pour les mêmes raisons que vous tous.
Je ne connais qu'une personne qui soit née le 11 novembre, et je pense qu'elle ne me lit même pas.
Perdue de vue, mais toujours des nouvelles.
Liens indirects.
News interposées, interparentales.
La vie est courte, le temps qui passe fait vite, long est le chemin déjà parcouru!)
Il ronfle.
Oui, mon père ronfle!
Moi, non, enfin si parfois, quand j'ai le ventre plein de vie, pendant 9 mois.
Mon Cher et Tendre, non, je ne te donne pas la parole, c'est chez moi toute seule ici, non mais!
Tu dirais que je ronfle aussi peut-être?
Mais jamais comme mon père (et jamais comme le tien non plus, j'espère...)
Bruits.
Le yaourt à minuit.
La porte à minuit moins une. Et à minuit une. Celle du placard. Celle de la salle de bain puis de la chambre.
L'eau qui coule.
Et le père qui ronfle.
Dimanche 11 novembre: papa, maman, dans votre maison, pensez à l'insonorisation!
Le reste ne serait que luxe et volupté...mais vous l'avez déjà rêvé non?

PS: je voudrais voir votre tête quand vous lirez ce billet, édité alors que vous êtes à trois mètres, innocents que vous êtes!

2 commentaires:

  1. Nopilouma m'ôte les mots du clavier !
    Ca m'rappelle...une farce d'il y a longtemps...Un enregistrement fait en fin d'après-midi, à plusieurs cerveaux,et avec rires ,et éclats à n'en plus finir, à en attraper des crampes!
    Il s'agissait de mettre sur bande magnétique la succession des "bruits" divers, nombreux et successifs selon une séquence toujours identique, de notre "Hubert de la Pâte Feuilletée" à nous,quand celui -ci s'engage dans la forêt où vivent les Pieds Plats avec la discrétion d'une charge légère de cavalerie, quand celui-là, le nôtre donc, revenait tard dans la nuit, fonction d'élu de base accomplie (ie TOUS les soirs, s'pas Tifenn?).
    Cela commençait par le pas,alourdi d'un cartable bien plein, dans l'escalier, la porte ferrée qui claque, la chute dudit cartable on the floor,j'en passe, et de croquignolesques! jusqu'au verre d'eau acétylsalicylée (ben oui, être élu n'est pas sans conséquence) avant de rejoindre le paddock, la ban(n)ette (pas le pain, voyons), le pieu, le bed, enfin cet endroit bienheureux de la maison que s'il n'existait pas, faudrait l'inventer...
    Je garde de cette création originale et hilarante un souvenir exquis, notamment quand le héros fatigué, le soir où la bande fut prête, fut invité, par flêche silencieuse mais explicite, à appuyer sur "play", entendit donc notre petit montage en riant, tandis que nous, éveillés comme des écureuils, étions postés derrière une porte proche, muets mais pétillants de joie pour guetter sa réaction.
    La vie domestique recèle quelques plaisirs simples et de belles occasions de farces!

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