Elluma.
C'est mon prénom. Il brille. Comme une étoile.
J'ai cinq branches. Comme les doigts de la main.
D'ailleurs, j'attrape tout.
Le vent, la Terre, l'Air, l'Eau et son Sel.
Sur cette plage, je croise.
Comme un navire en déroute, j'échoue.
Et pourtant, le soleil brille, le vent souffle, l'eau glisse, sur le sable salé.
Je t'attends, la mer. Pour que tu m'emportes.
Je te vois briller, luire.
Je te vois, aller et venir, enfin, tu m'attires.
Je me retrouve en toi.
Tu me frôles, me caresse, et par paresse, je te laisse.
EllumA. C'est mon prénom. Il en faut peu pour que je brille,
AllumE, c'est ma lumière.
Comprenne qui pourra.
Hum ! Pas sûr que les mollusques bivalves du coin apprécient tant de poésie déclinée autour des mésaventures de l'une de leur plus grande prédatrice. Mais moi, si !
RépondreSupprimerLeçon de choses.
RépondreSupprimerPour un peu, tu deviendras Univers, à frôler ainsi chaque être que tu croises...
Bonne glissade dans le ciel salé de la mer, bonnes rencontres avec les astéroïdes d'en Bas...
J'ai bien aimé le ton de ce poème et les photos.
RépondreSupprimerDédidemment avec Marcus, vous faites competition de belles photos de bord de mer, heureusement qu'on n'a pas à décider du gagnant, de la gagnante, ce serait tâche impossible.
RépondreSupprimerQuelle belle journée à jouer avec les étoiles de mer, des étoiles plein les yeux.
Je voulais travailler dans le jardin ce week end, c'est pour cela que je n'ai pas pu me joindre à votre concours avec des photos de la plage des huttes dans l'île d'Oleron, ce sera partie remise.
@ Kitem : Ainsi donc, juste de l'autre côté du pertuis d'Antioche… J'aurais une pensée pour toi en regardant le phare de Chassiron depuis la plage des grenettes, celle précisément où j'ai filmé les surfeurs.
RépondreSupprimerDécidément, que de blogueurs et blogueuses sur l'arc Atlantique.
Qu'il est beau ce billet Tifenn.
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