Zou.
(Oh, pardon, Zou!)
JE NE ME SUIS PAS
LAISSE
DEFAIRE.
En voilà une belle vision.
Faut que je vous avoue avoir commencé un billet sur "le monde est d'humeur massacrante" c'était tellement vrai et tellement noir, que j'ai tourné la page.
Je ne me suis pas laissé défaire par mon humeur massacrante du jour.
J'ai pris les mots par les cornes et je leur ai fait faire un demi-tour-on-avance, parce qu'il fait beau.
Et quand il fait beau, il ne fait pas gris, c'est donc que le ciel est bleu et que reflètent les couleurs.
Je ne me laissera pas défaire.
Même les jours sans vent, même les jours avec trop de vent, même quand il fait froid ou qu'il pleut.
Je ferai l'autruche, s'il faut, je ferai l'escargot, j'enroulerai ma coquille sur mon dos et j'irai voir si l'herbe est plus verte.
Je me raisonnerai, pour quelle soit la raison du plus fort.
J'apprendrai.
A ne pas me défaire.
Faudra juste m'en servir souvent pour ne pas l'oublier.
Encore faut-il être faite. Finalement je crois que je me défais volontairement...Pour pouvoir refaire et retrouver les mailles. Une à l'endroit, une à l'envers. L'Une.D'Une.
RépondreSupprimerEt quand je serai escargot, je baverai sur ceux qui auront tenté de me défaire et , tout baveux, ils jureront qu'on ne les y prendra plus.
RépondreSupprimerEt quand je ferai l'autruche, je mettrai ma tête à l'envers pour voir bleu ce qui est gris, soleil par dessus les nuages et rire ce qui est grimace.
Et puis je soulèverai une patte et je montrerai ma considérable griffe à qui veut me mettre le moral en rase-motte.
Na. Et tu as bien raison.
Jolie leçon d'optimisme.
RépondreSupprimerIl est temps que j'aille me refaire.
RépondreSupprimer:-)