Tu as la tête qui turbine, on te dit qu'est ce que tu as, tu réponds, Rien.
Tu es dans le noir, et tu ne vois Rien. Ou tu vois Rien?
Tu as mal à la tête, aux cheveux, à quelque part, mais tu n'as Rien.
Tu sais que tu as tout que tu n'as besoin de Rien, ou alors de ce petit Rien qui te manque.
Ils se blessent, saignent à longs fils rouges sur le tibia, tu leur dit, c'est Rien.
Il reste 5 ml de liquide dans ton verre, tu te dis, il n'y a plus Rien.
Tu fais parfois le tri entre ce qui sert et ce qui ne sert à Rien.
C'est qui Rien?
Avec tous ces petits Rien...Tous ces petits Ruisseaux...ces petits cailloux...
Tu fais une montagne, tu suis le fleuve, et ton Rien est plein comme un oeuf.
C'est juste que...à force de ne Rien faire, la force peut manquer.
De Rien.
tu as tout dit sur le rien.... alors je n'ai plus rien à dire... c'est tout...! :)
RépondreSupprimerRien n'est plus beau...
RépondreSupprimerN.B : La rose ressemble à celle que l'on appelle "la gloire de Dijon".. billet à venir !
RépondreSupprimerun rien
RépondreSupprimerjuste du rose du blanc
de l'eau, du temps
et voici la pivoine qui s'éveille
et qui nous surprend
par la chaleur de ses couleurs
ce n'est rien
que des pétales dans le vent
des petits riens
dans le jardin.
Merci... et de rien aussi...
RépondreSupprimerMarie Anne, ah non non, ce n'est pas un petit Rien, il est grand...
RépondreSupprimerBalmeyer, oh, merci d'être passé, c'est gentil tout plein!
Me remercie pas ! Je pense de temps en temps et je rattrape mon retard... bises. ;)
RépondreSupprimerun petit rien c'est bien plus qu'un rien c'est éphémère
RépondreSupprimeron le retient de crainte qu'il ne disparaisse
on le garde dans ses yeux en attendant la prochaine saison
c'est dans un jardin un petit coin,
une fleur,
on y revient dans ce petit jardin chercher ce petit rien
et... ce qui est petit est gentil...
ne suis-je qu'un petit rien?